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Le Leclerc Eylau du 5e régiment de Cuirassiers
Bonjour à tous,
Le Leclerc Tamiya me faisait envie depuis des années,
j'ai finalement eu l'occasion d'en acheter une boîte lors de l'expo de Saumur cette année.
J'ai opté pour une déco désert inhabituelle mais parfaitement authentique :A la faveur d'un group build avec des copains, je me suis lancé dans le montage sans attendre.
Avec l'aide d'un vieil exemplaire du Tamiya Mag que j'avais gardé au chaud... depuis 2005.
Dommage que cette revue n'existe plus. J'aimais bien son côté varié, avec du civil et du militaire.
J'avais flashé sur ce montage particulier, qui représentait alors un des premiers modèles testés dans le désert :Montage sans surprise, sans surprise ! C'est du très beau Tamiya.
Pas de photodécoupe pour ce kit, j'ai bidouillé les améliorations avec les moyens du bord, à l'ancienne.
J'ai détaillé les supports de bidons, qui resteront vides.
Et ajouté une partie des boulons aux endroits les plus visibles.
Tout ceci m'amène gentiment à la peinture, Tamiya évidemment.
Une couche de XF57 Buff, le train de roulement ayant précédemment été peint en noir et masqué.
Le camouflage a été peint au pinceau et les tâches remplies à l'aérographe.
Le 5e régiment de Cuirassiers est basé aux Emirats Arabes Unis,
avec une mission d'entraînement en milieu désertique.Le camouflage sable recouvre le vert et le noir, la teinte marron du camouflage habituel étant conservée.
Les décals : un mélange de motifs de la boîte et de la boîte... à rabiot
pour représenter le char Eylau du nom d'une bataille remportée au prix fort par Napoléon en 1807.Les Galix en résine Blast models sont peints en bleu pour représenter des cartouches d'entraînement.
Comme ici sur le char Indochine, du nom d'un groupe de rock qui a chanté l'Aventurier.
Non les dates marquées dessous ne correspondent pas, ça doit être autre chose.
Les capuchons et leurs fixations sont ajoutés, de nombreux détails sont repris au pinceau, comme les boulons du barbotin en couleur métal naturel.
Un gyrophare a été construit en scratch et ajouté, comme sur les photos de référence (bien visible sur l'Indochine).
Le tankiste est la figurine Tamiya de la boîte, recoupée pour ne faire dépasser que la tête de l'écoutille.
L'uniforme est peint avec le motif désert, mais c'est peu visible "du coup".Deux bouteilles d'eau évoquent la chaleur de l'environnement de travail.
Le câble de remorquage est la pièce d'origine, simplement ébavurée et peinte en gris métallisé.
Les antennes, j'hésite à le dire, mais tant pis j'y vais : ce sont les poils découpés sur une balayette (neuve).
C'est noir, souple et rigide à la fois. Parfait !J'ai gardé la patine assez limitée, je suppose que ces engins demeurent bien entretenus.
Le panier est rempli avec deux sacs d'origine Tamiya, issus des boîtes du M113 et du M48.
Les vitres des épiscopes et des viseurs ont été peintes en gris clair
puis recouvertes de peintures translucides noir, bleu et vert.Voilà une belle maquette rayée de ma liste des "à faire" !
A très bientôt pour un nouvel épisode, toujours dans le désert, mais plus léger...
Et puis maintenant que je l'ai en tête...
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Commentaires
1Le rat noirHier à 22:35Splendide. Je dois en monter un également en version désertique. Je m'inspirerai du tien. FrançoisRépondre
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