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Une photo amusante postée cet après-midi sur le compte twitter officiel de la gendarmerie :
Bonne soirée
Séb
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Pas mal de travail avec une reprise sur les chapeaux de roue lundi.
Voilà en images ce qui m'a occupé ces derniers jours, en plus du tout venant :
ça devrait quand même se calmer dans mon secteur ce soir...
A pluche
Séb
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La suite ?
Le Uboot et le patrouilleur sont passés par la case patine :
J'utilise des jus très dilués successifs d'essence à briquet et de peinture à l'huile.
Le résultat est plaisant mais c'est très long.
J'ai pratiquement passé une heure sur chaque bateau.
Vu la taille du Yamato, il y en aura pour des jours à ce rythme là.Autre partie de plaisir, la grue. J'ai fini l'assemblage ce matin, entre le petit déjeuner et le départ au bureau.
Eduard a complètement zappé les mécanismes de treuil situés dans le treillage.
Je les ai construits en plastique en utilisant la doc disponible (merci Alain).Le petit crochet et les cables avec palans viennent d'une planche générique l'Arsenal.
Derrière, à titre de comparaison, la pièce du kit.
Le plastique a ses limites, mais Tamiya n'a pas forcé son talent non plus sur ce coup là.A pluche !
Séb
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Hello
Quelques photos des travaux, en ordre dispersé, mais ça va rentrer dans le rang.
Le Uboot type 9 a reçu son camouflage (fictif).
Les catapultes du Yamato. Pas de gros souci d'assemblage,
avec le renfort interne d'un peu d'Evergreen pour consolider le collage au niveau du support.La grue, c'est une autre histoire. la pièce Eduard est très difficile à mettre en forme (U).
Les traits de pliage sont trop rigide et les parties qui doivent rester planes,
très ajourées, ont tendance à plier. Bref, le bordel.Si c'était à refaire, je couperais la pièce en trois le long des deux traits de pliage pour recoller le tout avec des angles bien nets. Trop tard.
Côté peinture la première couche d'XF77 ne me plaisait pas, avec ses tâches blanchâtres.
A droite, un essai de deuxième couche satisfaisant, en utilisant le diluant Tamiya.
Je ne suis pas monomaniaque de cette marque mais ils font de sacrés bons produits quand même.La construction en cours de mon hydravion what if :
A gauche le fuselage supérieur, constitué d'un bout de Sea fury et d'un rondin d'evergreen écrasé.
A droite, le fuselage inférieur/flotteur construit à partir d'un Fairey Gannet, dont les ailes sont aussi réutilisées, à l'envers, avec des balonnets tirés de bidons de F14.
Au 1/48, tout ceci couterait cher. Mais au 1/700, avec 15 avions par boîte à 4 €, on peut s'amuser à peu de frais !Bonne journée à tous
Séb
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Le pétard a été sorti ce midi pour une première couche de peinture sur le Yamato.
C'est sensé être la couleur définitive (XF77) mais à ce stade,
il faut plutôt parler d'une sous-couche destinée à unifier plastique, photodécoupe et zones mastiquées.
Je vais faire une inspection générale des défauts à corriger avant de passer à la peinture de finition.Comme j'y étais, j'ai aussi attaqué la mer :
La suite bientôt
Séb
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Echoué en 1994 en Norvège lors de son remorquage vers un chantier de démolition :
L'épave a été découpée et retirée en 2013 d'après la page Wikipédia.
Dès que j'ai terminé le Yamato, je me penche sur cette idée !
Bon week-end à tous
Séb
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Hello
Un petit pas à pas du collage des rambardes ?
Je commence par fixer les pièces de photodécoupe avec des languettes de sctoch de masquage :
Avec un pinceau fin, je passe un trait de colle blanche à la base :
J'ai trouvé ce produit dans les affaires de " loisirs créatifs " des enfants.
C'est nickel (faudra que je pense à leur racheter un pot. Celui là reste dans mes affaires)Les scotchs enlevés, le collage est solide,
suffisamment en tout cas s'agissant d'une maquette.Cette méthode est beaucoup plus simple et moins stressante qu'avec la cyano.
On positionne tranquillement la rambarde et lorsqu'on est content,
on passe un peu de colle, qui permet d'éventuels ajustages.
Autre avantage, on n'a pas le nez dans les vapeurs de Super glue,
que je soupçonne limite toxiques.A bientôt
Séb
4 commentaires -
Plus je colle des rambardes de cuirassé, plus j'aime les maquettes de sous-marin.
Pour la première fois, j'utilise à grande échelle la méthode de David Griffith
(auteur de l'excellent, quoiqu'en anglais livre "Ship models from kits").Les rambardes sont assemblées à blanc avec du scotch de masquage et le collage et réalisé à la colle à bois.
J'ai fait un petit test sur le patrouilleur, ça tient.
Sayonara !
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